
Domaine Valcolombe – du 01/06 au 31/10
Domaine Valcolombe
Aupied du village de Villecroze en Provence, sous les collines de Tourtour, la charmante propriété de Valcolombe s’étend sur 8 hectares, dont 5,9 de vignes. Ici, beauté, harmonie et bien-être s’unissent à l’ombre des oliviers, des pinèdes et des cyprès. Gardé par une ancienne bastide provençale, le vignoble donne naissance à des vins AOP coteaux varois en Provence d’excellence.
À Valcolombe, les vins ont le goût authentique de la Provence et de l’amour que les propriétaires du domaine, Philippe et Marie-Hélène Grammont, portent à leurs terres. En effet, les 10 cépages du vignoble sont cultivés à l’aide d’engrais biologiques, et l’arrangement végétal autour des vignes a été pensé pour favoriser le développement de la vie micro-organique locale. L’aménagement de l’exploitation permet donc de mettre en bouteille des gammes complètes de vins rosés, blancs et rouges cousues main, élégantes et raffinées, qui savent accompagner toutes les occasions.
Collectif d’artistes
Fidèle à ses valeurs de partage et de communion, le domaine Valcolombe accueille un parcours artistique réunissant six artistes différents. Riche de sa grande diversité, ce circuit unit les talents des sculpteurs : Jean-Marie Flandin, Vincent Givogre, Patrick Montalto, Dominique Mercy, René Orcière, Ten et Tusoli.
Artistes
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Jean-Marie Flandinsculpteur
Autodidacte, je me passionne à modeler, transformer, détourner le métal initial J’utilise une forge et mes mains sont guidées par mes références livresques ou les lieux d’exposition visités et revisités En effet, les grands maîtres tels Picasso, Matisse, Gonzales, Vélasquez, Chillida, Valdès et bien d’autres encore sont une source d’inspiration pour moi immense et inépuisable. Un vrai plaisir à les admirer, les connaître, reconnaître….
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Patrick Montaltosculpteur
“Les artistes sont tout sauf des créateurs – l’artiste ne crée rien du tout : il écoute, assemble, détourne, retrouve, montre ce qui est. C’est un réaliste profond et un observateur tactile du réel. Qu’est-ce qu’il fait ? Rien ; il ne crée rien : il dévoile ce qui est là ; il rappelle et désoublie.” (Valère Novarina) ,
L’artiste utilise le bronze pour les pièces allant jusqu’à 1m et la fibre de verre ainsi que l’acier pour les œuvres monumentales.
Le fil rouge c’est le mouvement et la tentative d’abstraction de la pesanteur., -
René Orcièrevitrailliste
Il a suivi une formation à Chartres sur la réalisation de vitraux au Centre International du Vitrail et sur la technique du fusing. Sa technique est multiple : utilisation de différents verres de couleur et réalisation de peintures sur verre (avec cuisson).
Ces vitraux sont prévus pour être suspendus, en panneaux fixes, pour fenêtres ou bien sur des trumeaux à partir de vieux cadres combinant vitraux et miroirs. Ses thèmes de prédilection sont : le fauvisme, l’expressionnisme et autres thèmes de la première moitié du 20e siècle. , -
Tensculpteur
Parcours artistique : Études au CAD (Bruxelles) Formation de chaudronnier-soudeur Je façonne l’acier avec passion … Depuis 2016 diverses expositions en Belgique et depuis peu à Cotignac m’ont permis de faire connaître mon travail ,
Mes sculptures sont le résultat d’un profond ressenti, d’émotions spontanées et d’une envie de créer des envolées vers le ciel … Elles sont étroitement liées à leurs socles avec lesquels elles ne font qu’un … Je soigne particulièrement les détails d’assemblage par des techniques de soudure et de meulage …, -
Vincent Givogresculpteur
J’ai fait des études de philosophie et d’ethnologie, une formation Professionnelle au Métier de Comédien au Théâtre des Atelier à Aix. Technicien des Arts Mobiliers, Sculptés et Décoratifs _ École Supérieure d’Ébénisterie d’Avignon – Section sculpture. Artiste plasticien à temps plein depuis 2015, je travaille sur le corps et son image. Mon activité s’articule autour de la sculpture sur bois monumentale et de tailles plus modestes, la création de pièces composites (bois, pierre et métal), de bronzes.
Le point de départ de mon travail est la morphologie. Ma démarche est de construire une abstraction du corps humain dans le but de « dé-psychologiser » le regard sur le corps. L’idée est de faire apparaître des segments anatomiques qui n’ont de sens que rythmique. La représentation du corps traitée de cette manière invite à le considérer dans sa manifestation immédiate, dans sa simple présence. Replacé dans un « il y a » préalable il sort de la sphère de la projection et de l’accaparation. Il devient, au même titre que la montagne ou le rocher, une manifestation de « l’être là ».,